John HOLLENBECK est nominé aux Grammy Awards pour le meilleur enregistrement dans la catégorie Best Large Jazz Ensemble!
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John HOLLENBECK est nominé aux Grammy Awards pour le meilleur enregistrement dans la catégorie Best Large Jazz Ensemble!
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Pascal Rozat, journaliste aux DNJ et Jazzmag, est conseiller d’Emmanuel Hoog, président de l’INA (Institut National de l’Audiovisuel). Il a accepté de se prêter au jeu de l’interview pour nous parler de la nouvelle offre jazz dont il a assuré la coordination à l’INA et qui se décline en deux volets : la parution d’un double CD consacré au Festival de jazz de Cannes 1958, « Jazz sur la Croisette », et la mise à disposition du patrimoine jazz de la radio et de la télévision française sur le site ina.fr.
Pascal ROZAT (Photo J. Gransac)
En avant-goût, la bande-annonce:
Sébastien Llado, après avoir accompagné les plus grands de la scène française (dans un grand écart stylistique allant de l'ONJ Barthélémy à Yaël Naïm) et la création de son nouveau quartet en 2005, enregistre en live son premier disque en leader. Pour cet événement majeur, le tromboniste, joueur de coquillages et chercheur de sons (naturels et électroniques), a composé un jazz métissé, sophistiqué et populaire, drôle et poétique, surprenant et satiné, accompagné d’un trio musical de référence et d'envergure (Leïla Olivesi aux claviers, Bruno Schorp à la contrebasse, Julie Saury à la batterie). Une musique vibrante qui s'adresse autant au corps qu'à la tête. Vendredi 20 novembre 2009 à 21 heures Sébastien Llado Quartet Sébastien Llado, trombone, conques - Leïla Olivesi, piano - Bruno Schorp, contrebasse – Julie Saury, batterie Sébastien Llado : www.sebastienllado.com - www.myspace.com/llado au Sunside-Sunset Jazz-Club 60, rue des Lombards 75001 Paris Infoline : 33 (0) 1 40 26 46 60 / 33 (0)1 40 26 21 25 Métro : Châtelet-Les Halles http://www.sunset-sunside.com/ |
© Sony Music Entertainement
Jusqu’au 17 janvier 2010 se tient au Musée de la musique de la Villette « We want Miles – Miles Davis, le jazz face à sa légende», une exposition exceptionnelle où le jazz se donne à comprendre, à voir et à entendre. Une déambulation à travers la vie et l’œuvre de Miles Davis, magnifiquement imaginée par Vincent Bessières, le commissaire de l’exposition. Curieux, amateurs éclairés ou spécialistes érudits de Miles Davis s’y retrouveront avec bonheur car toute l’exposition est organisée de manière intelligente et pédagogique avec de très nombreux passionnants documents et dans un bain de musique permanent. Le parcours propose de suivre la chronologie de l’artiste de son enfance bourgeoise à Saint-Louis au concert de La Villette en 1991, en passant par les rencontres marquantes et les collaborations fructueuses avec Charlie Parker, Dizzie Gillepsie, Gil Evans, Wayne Shorter, Teo Macero ou Marcus Miller, ainsi que ses dialogues avec le blues, le bebop, le rock, l’afro-funk ou le hip hop.
L’atout principal de cette exposition est le temps laissé à l’auditeur-visiteur pour s’immerger dans la musique. L’exposition se déroule dans un bain sonore permanent grâce à différents îlots circulaires, appelés « sourdines », qui offrent à un public d’une dizaine de personnes une écoute de grande qualité de quelques œuvres majeures du trompettiste. Des bornes d’écoute permettent également au visiteur équipé de son propre casque ou d’un casque d’emprunt de s’isoler quelques minutes de la foule pour une interview au long cours (ne manquez pas l’extrait de la troublante interview de Miles dans Les enfants du rock en 1986) ou une séquence musicale (quel bonheur cette suite harmonique de Miles sur l’errance de Florence – Jeanne Moreau dans Ascenseur pour l’échafaud, on ne s’en lasse pas !). A noter cette porte dérobée au sous-sol de l’expo qui conduit au fameux concert Davis and Friends de 1991 à La Villette, quelques semaines seulement avant la mort du trompettiste. Pour chaque période présentée, l’exposition offre à l’amateur, profusion de photos (à voir absolument les magnifiques clichés d’Irving Penn pour le lancement à grand renfort de pub de « Tutu » en 1986), de dessins (les incontournables de Corky McCoy pour la pochette de « On the Corner »), de partitions manuscrites, d’instruments, d’objets divers, de documents. Les pochettes mythiques au sublime graphisme de chez Columbia côtoient la trompette des années 1950 de Miles, les épreuves annotées de son autobiographie et le « To be white » griffonné par Davis en réponse à la demande de la baronne Pannonica de Koenigswarter sur ses trois vœux. Le tout est scénographié avec classe dans un univers sombre pour la période acoustique et une débauche de couleurs dans un environnement foutraque pour les années électriques. On passe de surprise en surprise et tout est passionnant.
Contrairement à l’exposition du Quai Branly du printemps dernier qui faisait la part belle au dialogue du jazz avec les arts plastiques, tel n’est pas le propos ici. On peut toutefois y voir deux toiles de Jean-Michel Basquiat et découvrir les peintures de Miles Davis himself.
Très loin de la célébration de l’icône Miles, cette exposition aborde l’œuvre et la vie de Miles comme un paradigme de l’histoire du jazz en mouvement, démontrant à quel point cette musique est en dialogue et en relation permanente avec toutes les autres formes musicales, baignée dans un espace-temps qui la métamorphose et l’enrichit. Bien sûr, Miles plus que tout autre a favorisé ce dialogue, que ce soit avec le rock, le funk ou le hip hop. Il avait même pris contact avec Jimi Hendrix pour un projet commun qui n’a pas pu voir le jour du fait de la mort prématurée de Hendrix. Pour prolonger la découverte et fidèle à son souci permanent de pédagogie, la médiathèque de la cité de la musique propose une analyse commentée des œuvres sonores présentées dans l’expo. Courez vite voir cette exposition!
Régine Coqueran
Une passionnante exposition en hommage à Miles Davis (1926-1991)
Jusqu’au 17 janvier 2010 se tient au Musée de la musique de la Villette « We want Miles – Miles Davis, le jazz face à sa légende», une exposition exceptionnelle où le jazz se donne à comprendre, à voir et à entendre. Une déambulation à travers la vie et l’œuvre de Miles Davis, magnifiquement imaginée par Vincent Bessières, le commissaire de l’exposition. Curieux, amateurs éclairés ou spécialistes érudits de Miles Davis s’y retrouveront avec bonheur car toute l’exposition est organisée de manière intelligente et pédagogique avec de très nombreux passionnants documents et dans un bain de musique permanent. Le parcours propose de suivre la chronologie de l’artiste de son enfance bourgeoise à Saint-Louis au concert de La Villette en 1991, en passant par les rencontres marquantes et les collaborations fructueuses avec Charlie Parker, Dizzie Gillepsie, Gil Evans, Wayne Shorter, Teo Macero ou Marcus Miller, ainsi que ses dialogues avec le blues, le bebop, le rock, l’afro-funk ou le hip hop.
L’atout principal de cette exposition est le temps laissé à l’auditeur-visiteur pour s’immerger dans la musique. L’exposition se déroule dans un bain sonore permanent grâce à différents îlots circulaires, appelés « sourdines », qui offrent à un public d’une dizaine de personnes une écoute de grande qualité de quelques œuvres majeures du trompettiste.
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Naissance de la Maison du Duke, en résidence un soir par trimestre à l’Entrepôt – Paris.
La Maison du Duke est un format original de rencontre musicale et didactique, visant à partager et prolonger l'héritage de Duke Ellington avec le public, les musiciens et les passionnés. Une autre façon de (re)découvrir le Duke, mêlant concert commenté, répétition publique, invités, actualités ellingtoniennes …
La Maison du Duke est animée par le Duke Orchestra et le cercle des amis de Duke Ellington, parrainé par Claude Carrière.
Jeudi 16 avril 21h30
- Répétition commentée et concert Duke Orchestra
- Interventions de Claude Carrière – petites histoires et grands standards
Jeudi 11 juin 21h30
- sortie de l’album « live » du Duke Orchestra et concert commenté
- nombreux invités …
- Présentation de Philippe Baudoin – partitions vintage
Le Duke Orchestra
Didier Desbois, Aurelie Tropez, Fred Couderc, Nicolas Montier, Philippe Chagne (saxes), Jean-Louis Damant, Guy Figlionlos, Guy Arbion (tbn), François Biensan, Franck Delpeut, Franck Guicherd, Richard Blanchet (tpt), Philippe Milanta (p), Bruno Rousselet (cb), Julie Saury (batt), Laurent Mignard (dir)
L’Entrepôt
7/9, rue Francis de Pressensé 75014 Paris - M° Pernety - tel : 01 45 40 07 50
parking public : rue du Commandant Mouchotte
tarif : 7 euros, sans réservation.
site internet : www.laurentmignard.com - myspace : www.myspace/dukeorchestra
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